Je cachais des pantalons de rechange partout : dans le coffre de la voiture, le tiroir du bureau, même dans mon sac pour l’église.
Un seul toussotement et cette panique chaude familière se répand. C’est humiliant mais incroyablement courant : jusqu’à 50 % des femmes de plus de 50 ans souffrent de fuites urinaires, un chiffre qui grimpe à 75 % après 65 ans.
Les serviettes jetables semblaient être la solution jusqu’à ce que je fasse les calculs. Je dépensais environ 775 € par an pour des serviettes qui se froissaient, sentaient mauvais et me laissaient une sensation d’humidité.
À l’échelle de l’industrie, les femmes dépensent environ 20 milliards d’euros par an en protections contre les fuites.
Mais l’argent n’était pas le seul coût.
Chaque serviette jetée s’ajoute aux 300 livres de plastique qu’une femme laisse derrière elle, un plastique qui reste dans les décharges pendant jusqu’à 800 ans.
Je voulais du confort sans la culpabilité liée aux décharges. C’est à ce moment-là que j’ai découvert les culottes Vera.